"Ma petite chienne ... ". Mon Maître commence souvent ses textos comme cela, des textos toujours très courts aussi ai je été surpris de voir la longueur de celui-ci : "Je vais venir comme convenu vendredi soir m'occuper de toi mais je veux que tu suives à la lettre mes instructions :

• tu t'habilles en pute comme la dernière fois ( j'avais en effet revêtu une jupe écossaise ultra courte sur un string noir, un soutien gorge et une paire de chaussures à talons de 8 cms.... plus mon collier évidemment ).
• Tu mets un bandeau sur tes yeux à partir de 18h précises après t'être assuré que la porte d'entrée est ouverte mais que la clé est dessus
• Tu poses sur le lit : les cravaches, la canne anglaise, le bâillon boule, le lubrifiant et 2 cordes d'au moins 1,5m
• Tu mets ton plug anal
• Tu te mets à genoux sur le lit à côté de ces instruments , le cul en l'air tourne vers la porte, la tête posée sur le lit, les mains près des pieds
• Et tu attends

Je sais que ma femme ne sera pas là cette fois et ses instructions me décontenancent. Je passe la semaine à me demander ce que veut mon Maître...

Le vendredi arrive. Vers 17h alors que je commence à me préparer, elle quitte la maison en m'embrassant avec un sourire coquin : "amuse toi bien". Comme d'habitude, mon stress monte au fur et à mesure que l'heure de son arrivée s'approche. A 18 h, j'ai respecté scrupuleusement toutes ses instructions et j'attends sur le lit , docile. Je souris intérieurement en imaginant la vue qu'il aura en entrant. Je l'entends pénétrer dans la maison, refermer la porte d'entrée derrière lui, donner un tour de clé. Puis plus aucun bruit... jusqu'à ce que je sente une présence à mes côtés. Il ne dit rien pendant de longues minutes puis attaché mes poignets à mes chevilles solidement puis me mets le bâillon : Je suis bientôt incapable du moindre mouvement et de la moindre parole. Il ôte mon plug anal et je sens du gel couler dans la raie de mes fesses puis un doigt faire pénétrer le gel à l'intérieur. Après que je me sois habitué à cette introduction, un second doigt suis puis un troisième... la dilatation dure 10 bonnes minutes où ses doigts expertes m'ouvrent commençant à me procurer du plaisir. Soudain il cesse et je sens son sexe se présenter et me prendre doucement. Enfin ... je m'abandonne à cette prise, me cambrant, m'offrant. Il me pénètre entièrement et commence à aller et venir entre mes reins. Une sourde interrogation commence alors à me tarauder : je connais bien son sexe, je connais bien ses gestes et ... l'évidence se fait jour ... ce n'est pas lui ! Je ne peux ni protester ni me défendre et je laisse cet inconnu me défoncer à grands coups de reins. Je me dis qu'heureusement il n'est pas aussi bien monté que mon Maître... Juste avant de jouir il sort , arrache sa capote et je sens son sperme gicler sur ma figure, mes cheveux ... Je reste haletant sur le lit. Aucune parole n'a été échangée et je m'attends maintenant à ce que mon Maître reprenne son bien quand soudain une autre queue se présente à l'entrée de mes entrailles et me pénètre impérieusement. Là encore bien que la taille soit plus proche, je constate que c'est encore un inconnu qui se déchaîne dans mon cul dans ma propre maison ... dans le lit conjugal. Là encore, au dernier moment, il se retire et répand sa semence sur mon visage et mes cheveux. Je sens couler le sperme sur mon front, mes joues. Quatre inconnus vont se servir de moi tel une pute sans un mot, pendant plus d'une heure. Je suis maintenant complètement ouvert et disponible : mon cul ne m'appartient plus et j'ai du jouir à 4 ou 5 reprises. Soudain je reconnais SA prise, son sexe m'envahit, il reprend manifestement ses droits sur sa chienne. Il doit savourer l'ouverture de sa chienne et s'en donne à cœur joie, me labourant littéralement. Pour bien montrer sa possession, il reste en moi pour jouir et je sens son sexe gonfler avant qu'il ne se vide dans un dernier coup de rein magistral. Malgré le préservatif je sens la chaleur de sa semence fuser au plus profond de moi. Il se retire et j'entends bouger tout autour puis ... le sifflement dans l'air alerte mes sens uns fraction de seconde trop tard. Je n'ai pas le temps de serrer les muscles fessiers que l'impact à lieu. Je reconnais immédiatement la morsure de la canne anglaise. Le coup était puissant parfaitement ajusté au centre de mon postérieur. Je plie légèrement sous le coup puis alors que la douleur commence à irradier je reprends ma position initiale. Le second coup me surprend moins même si ma cécité ne me permet toujours pas de l'anticiper. Je perçois une légère différence dans la manière de frapper et je comprends qu'ils signent chacun leur acte de domination. Je devrais donc prendre 5 coups si je ne me trompe pas. Ou dix ... ou quinze ... l'inquiétude me gagne quand le troisième coup me cingle plus sourd , plus lourd que les deux premiers. Je reprends mon souffle. Ils savent ce qu'ils font : 30 secondes s'écoulent entre chaque impact, le temps nécessaire à la douleur pour se répande puis refluer. J'attends le cinquième plus longtemps que les autres ... touche finale de mon Maître ? Le sifflement m'alerte : il ne sera pas comme les autres ... le coup est le plus violent que j'ai jamais subi, d'une violence rare, parfaitement centré, j'ai l'impression de sentir ma peau éclater. La douleur envahit mon corps, mon cerveau libère toutes les substances qu'il peut pour y faire face. Et je ressens ce moment enivrant ou la douleur ne peut plus endiguer le plaisir, ou elle l'alimente. Je me prends à gémir de volupté. Soudain le silence... plus rien ... vais je encore subir un coup ? Je le crains et l'espère. Les secondes s'égrènent. Je n'ose bouger quand soudain une petite voix me susurre à l'oreille : "alors petite salope : tu t'es bien amusé ? Ma femme .. ? Depuis quand est elle là ? A t'elle assisté à ma saillie ? "Je vais te délivrer" Elle défait les entraves et me donne l'ordre d'enlever le bandeau. La lumière me fait sciller et j'ai besoin de quelques secondes pour m'habituer à la luminosité. Je constate que ma gopro est branchée et, fixée à côté du lit, filme en continu. Elle est là , à côté de la caméra , affichant un air goguenard : " approche toi de la caméra, oui comme ça, très bien... tu t'es bien amusé ?" "Oui Maîtresse j'ai adoré " " Tant mieux parce qu'eux ont apprécié et qu'ils ont prévenu du fait qu'ils reviendraient ... il va falloir t'habituer. Va te laver maintenant !" Je me retrouve devant le miroir de la salle de bain, un volume de sperme incroyable macule mon visage et mes cheveux, mes habits sont de travers. Je songe " on dirait une pute qui vient de finir sa nuit " Étrangement cela me fait bander.... je souris de cette étrange parenthèse de jeu que ma femme et mon Maître viennent de m'offrir...